Jene supportais pas le fait qu'elle passe son temps a vouloir me contrÎler et elle détestait le fait que je puisse me rebeller contre son autorité.Elle passait son temps a fouiller ma chambre en espérant trouver de la cocaïne. Tout ce qu'elle avait découvert c'était un vieux magazine porno au fond d'un tiroir et merci seigneur il était hétéro.Elle lisait
Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal Morsmordre DEPARTEMENT DES MYSTERES. » Pensine. Corbeille AuteurMessageMorsmordre Democraty is always an abuse of statistics. » Sujet Faire le bien et le faire bien. Ven 28 Jan - 708 Et voilĂ , ouverture du premier sujet d'entraĂźnement des jeunes AD. Donc je laisse l'entiĂšre libertĂ© Ă Ted de monter son entraĂźnement comme elle l'entend, mais en fait pour ce premier cours il faudrait surtout de la pĂ©dagogie, des explications et tout, plus que des premiers sortilĂšges en eux-mĂȘmes. Que vous sachiez qui sont vos alliĂ©s et dans quoi vous vous ĂȘtes engagĂ©s.â- Lily L. Potter Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 29 Jan - 1136 On est en mars. Il commence Ă faire beau, et en plus il fait bon. Un dĂ©but de chaleur, la fin de lâhibernation des marmottes. Eh oui, Lily se rĂ©veille ! Et câĂ©tait super rigolo de la voir se rĂ©veiller ! Bon, ce qui Ă©tait moins rigolo câĂ©tait le contrecoup de la manifestation en fait. Elle dĂ©testait de plus en plus les lieux clos, distribuait de violentes baffes Ă ceux qui osaient ne serait-ce quâĂ peine lâeffleurer, et elle Ă©tait verbalement plus violente avec ceux qui la charriaient sur sa crise dâagoraphobie. Puis de verbalement violente, elle devenait physiquement violente, et lĂ on sentait quâelle Ă©tait une gamine de Harpies, rien quâĂ la force des branlĂ©es quâelle collait Ă ceux qui lâemmerdaient. Lily se transformait en vĂ©ritable terreur 8D. Le dernier en date câĂ©tait un Serpentard qui lâembĂȘtait pour ⊠Excellente question, qui lâembĂȘtait quoi, et Lily lui avait collĂ© une dĂ©rouillĂ©e tellement sĂ©vĂšre quâelle avait envoyĂ© son camarade dâun mĂštre quatre-vingt quinze et le mĂȘme poids en muscles Ă lâinfirmerie. Donc maintenant on Ă©vitait un peu de lâemmerder, ce qui Ă©tait on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de mĂ©tamorphoses. Appartenant Ă ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle nâavait pas hĂ©sitĂ© Ă remettre sĂšchement Ă sa place un Ă©lĂšve qui voulait recommencer, et ce en plein cours de mĂ©tamorphoses. Personne nâembĂȘte le beau gosse lupin qui sera bientĂŽt son ⊠Euh ⊠Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, lĂ actuellement elle Ă©tait dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgrĂ© sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie â ouais ça fait beaucoup â elle sâen foutait totalement, aprĂšs cinq ans dâhabitude. AllĂ©luia. Bref. VautrĂ©e dans un canapĂ© Ă©meraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part Ă un truc illĂ©gal, ce nâest pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle Ă©tait vĂȘtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutĂŽt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne lâavait encore abordĂ©e ? Peut-ĂȘtre parce quâun nounours dâun mĂštre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son â beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant â petit ami en reste Ă lâeau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on sâen branle, Ă lâeau quoi. Se levant de son confortable canapĂ© â bon ok elle Ă©tait assise sur les jambes de Nathan â on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lĂšvres sur celles de son Nathan â DE SON NATHAN A ELLE, espĂšce de pĂ©tasse peroxydĂ©e qui le reluque avec envie ! â et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anĂ©mique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsquâelle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer dâun air mĂ©chant quâelle lĂącha sans sâen rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, tâas un problĂšme ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me dĂ©plaĂźt fortement. » Va falloir tây faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour dâelles. Oui, Lily venait bien dâinsinuer que la blondasse Ă©tait une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui sâapprochait dâun air menaçant. Tâes trop mignon mon cĆur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombĂ© dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... â Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapĂ© dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le nĂ©ant de ta boite crĂąnienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-mĂȘme ne prenne l'initiative de le faire. â- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est prĂ©fĂšte. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te dĂ©fendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras mĂȘme plus embrasser ta pĂ©tasse d' stop and go avant la rĂ©partie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sĂ»rement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement Ă des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde rĂ©clame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles prĂ©fĂ©rĂ© vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait Ă©tĂ© qu'un fĂ©tu de paille. De son bras non-enroulĂ© dans l'Ă©charpe of course. â Meghan Anna Prewett n'est pas une pĂ©tasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coĂ»tera moins de dents. Ensuite, demande Ă tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandĂ© et du dentier dont tu vas bientĂŽt avoir besoin. Y a un petit badge collĂ© sur pull, il est pas lĂ pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprĂ©cie, on risque pas de me voir collĂ© Ă ta place. âMonsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose Ă dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispĂ© de colĂšre de Mister Gray. Ăa sonne pas erreur lĂ ? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en Ă©charpe ne le fut soudainement plus - malgrĂ© les os encore fragiles, fuck la constitution du mĂ©tabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu rĂ©pliquer, il fit faire Ă son visage un aller simple sur la table oĂč ses pieds Ă©taient prĂ©cĂ©demment croisĂ©s. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tĂȘte. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la dĂ©fense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherchĂ©. â Un ĂȘtre humain adulte normalement constituĂ© possĂšde un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, fĂ©licitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. âIl laissa retomber la tĂȘte du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda oĂč il pouvait bien aller Ă cette heure tardive. Il allait Ă la rĂ©union de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cĂ©rĂ©monie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'Ă©tait pas le premier arrivĂ©. Lily et Nathan Ă©taient dĂ©jĂ lĂ . Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle Ă©tait lĂ aussi. IdentitĂ© inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tĂȘte. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'Ă©paule de sa main retournĂ©e dans l'Ă©charpe en riant doucement. â La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gĂąteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bĂȘtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard Ă balais. âIl se mit Ă rire doucement. Ăa allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chĂ©rie d'amour et tout serait parfait, ou presque. DĂ©pĂȘche-toi beautĂ©, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais oĂč pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est Ă©videeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses dĂ©lires Ă elle et bah elle pars vraiment trĂšs, trĂšs loin. Dans sa tĂȘte actuellement c'Ă©tait un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand mĂȘme... qui doit pas ĂȘtre suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intĂ©grĂ© dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filĂ© de plan. Elle n'arrivera jamais vivante Ă la rĂ©union... Finalement super-Lucy a rĂ©ussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner Ă gauche et non Ă droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachĂ©e derriĂšre la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard Ă balai ou un autre truc du genre ultra Ă©troit, ultra sans lumiĂšres, etc. Mais plutĂŽt la planque de super hĂ©ros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraĂźnement oĂč tu peux Ă©clater en vrai les cobayes Ă qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la rĂ©incarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supĂ©rieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est Ă presque Ă©galitĂ©, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiositĂ©s, si ça tombe elle sera mĂȘme la premiĂšre arrivĂ©e !DĂ©cetpion. DĂ©jĂ , il y a dĂ©jĂ des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabĂšte ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothĂšque bien garnie qu'on va rĂ©ussir Ă sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et dĂ©posa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est prĂ©fet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention Ă ses blessures de guerres. T'Ă©tais oĂč ?! J't'ai cherchĂ© partout moi tout Ă l'heure. J'ai mĂȘme faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisĂ©e avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherchĂ© deux minutes puis elle avait trouvĂ© quelqu'un d'autre qui acceptĂ© de la supporter genre Dante Ă tout hasard, et elle n'avait pas cherchĂ© dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du chĂąteau d'ailleurs, la patience c'est pas son truc Ă la Blondinette. Et de toute façon elle Ă©tait totalement incapable de faire la tĂȘte Ă Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait rĂ©ussir Ă tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothĂšques se demanda sĂ©rieusement Ă quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaĂźtre tout ça il devait avoir un problĂšme psychologique, vus qu'il n'y avait mĂȘme pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littĂ©rature dans la salle, c'Ă©tait un de ceux dĂ©jĂ lĂ qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiĂ©reux, elle Ă©tait venu lĂ pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littĂ©rature. DĂ©pitĂ© Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposĂ©s. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrĂ©tion Lucy quand mĂȘme. Mais c'Ă©tait vraiment un crie du coeur, c'Ă©tait peut ĂȘtre la seule Ă ĂȘtre totalement hystĂ©rique dans la piĂšce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'Ă moitiĂ© dessus et qu'elle manque de l'Ă©touffer en se pendant Ă son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mĂštres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga cĂąlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait Ă son immense sourire puissance dix mille qu'elle Ă©tait contente de retrouver son ami Ă elle ici. Elle Ă©tait toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'Ă©tait sa compote Ă elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand mĂȘme c'est Ă©noooorme ! »Pauvre de vous, la pile Ă©lectrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrĂȘte, elle a un monde Ă sauver. Et un ami Ă Ă©touffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander Ă©tait vautrĂ© sur un canapĂ© dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux Ă©bouriffĂ©s - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lĂšvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rĂȘveur, il arborait cette fois un sourire en coin. TrĂšs lĂ©ger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait dĂ©jĂ demandĂ© au moins trois fois s'il avait rencontrĂ© un joli Bisounours dans son monde parallĂšle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idĂ©e lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui Ă©tait autre. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait Ă©tĂ©, tout petit, bercĂ© par les rĂ©cits trĂšs enthousiastes de sa mĂšre lorsqu'elle lui contait les rĂ©unions de l'ArmĂ©e de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigĂ©s par Potter, le systĂšme des piĂšces... Bref, tout cela l'avait captivĂ©. C'Ă©tait presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilĂ que grĂące Ă son grand ami en taille et en Ăąge notamment Ted Lupin, cette association de dĂ©fense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'Ă©taient pas au plus haut de leur forme, mais c'Ă©tait quand mĂȘme une bonne chose, cette armĂ©e. Et aujourd'hui, c'Ă©tait la premiĂšre rĂ©union depuis bien des annĂ©es. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste lĂ . »Bon, il avait reçu le message. Les autres prĂ©fĂ©raient rester lĂ , bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et dĂ©boula dans le parc oĂč - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. LĂ , il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel Ă©tait beau. Le silence Ă©tait apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer Ă une rĂ©union illĂ©gale. Car c'est bien illĂ©gal, cette rĂ©union de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participĂ© Ă la fĂȘte clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi Ă la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il rĂ©flĂ©chissait, il se disait qu'il Ă©tait un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autoritĂ©. Lui Ă©tait content de montrer que justement, il n'Ă©tait pas content. Car, si le grand rĂȘveur avait la tĂȘte dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait Ă©galement un avis et un mot Ă dire. Ă sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il Ă©tait Ă la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-mĂȘme ? Non non, il cherchait juste Ă faire passer le temps, en dĂ©finitive. Dans cette atmosphĂšre de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou mĂȘme un ballet, si tu prĂ©fĂšres. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher Ă quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il Ă©tait seul, seul avec sa montre qui bientĂŽt lui indiqua que c'Ă©tait l' il se prĂ©senta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaĂźtre la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette piĂšce. DĂ©jĂ , il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il Ă©tait, sans ĂȘtre un rat de bibliothĂšque, quelqu'un qui apprĂ©ciait les livres, ou plutĂŽt ce qu'on trouvait dans les livres. Ăa le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'Ă©tait comme renoncer Ă un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette piĂšce des livres, des canapĂ©s, et des gens en question n'Ă©taient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un prĂ©fet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligĂ©e de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait Ă trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, aprĂšs tout, ils Ă©taient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi Ă mieux se connaĂźtre. Comme les alcooliques anonymes, avec le problĂšme de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en diffĂ©rent quoi. Pour le moment, il Ă©tait le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrĂ©sistible d'aller voir si ces canapĂ©s Ă©taient confortables, Lysander s'Ă©croula sur l'un d'entre eux dans une position tout Ă fait normale, Ă savoir les genoux pliĂ©s sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongĂ© en long sur le sofa, la tĂȘte sur le second canapĂ©. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prĂ©vu pour plusieurs personnes. Qu'on Ă©tait bien lĂ -dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 FĂ©v - 505 "MiaĂŽw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rĂȘve, et soupira sans s'en rendre compte, dĂ©rangĂ©e en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacrĂ©, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rĂȘve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vĂȘtements en vrac, sa brosse Ă cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se rĂ©veilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulĂ© censĂ© signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le rĂ©veil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un tĂ©lĂ©phone. Lucy sourit malgrĂ© elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupĂ©e Ă patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'Ă©mergeait pas, passa de l'autre cĂŽtĂ© et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant Ă pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idĂ©e saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intĂ©rieurement le jour oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'adopter cette bĂȘte qui la dĂ©rangeait en plein cĂąlin, en plein rĂȘve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en mĂȘme temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa lĂ©thargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle Ă©tait probablement partie embĂȘter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiĂ©e s'Ă©tait agrippĂ©e Ă son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lĂącha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matiĂšre de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris Ă connaĂźtre Lucy, ne broncha pas et vint lui lĂ©cher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagnĂ©...Lucy se leva en bĂąillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminĂ©, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de mĂȘme lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit dĂ©jeuner Ă cĂŽtĂ© d'un Poufsouffle surexcitĂ© qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il Ă©tait en train d'expliquer Ă un prĂ©fet venu aux nouvelles que c'Ă©tait un pari lorsque Lucy s'Ă©clipsa. La suite de la journĂ©e se dĂ©roula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pĂ©tasses aussi. EspĂšce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de DĂ©fense" disons, n'est ce pas, Ă©tait le fait du pĂšre de Lily, Harry Potter, Ă l'Ă©poque de sa scolaritĂ© Ă Poudlard, et face au peu d'action du MinistĂšre, face aux Mangemorts potentiels et Ă la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait dĂ©cidĂ© de la remettre en place. Bonne idĂ©e Teddy, ça nous fera des choses Ă raconter Ă nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrĂ©e et pousser la porte bien cachĂ©e de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premiĂšres rĂ©actions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'Ă©tait superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, Ă savoir Lily Potter, sa cousine adorĂ©e chĂ©rie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord Ă©vitĂ©, rebutĂ©e par l'exubĂ©rance de la jeune fille, et qu'elle apprĂ©ciait fortement dĂ©sormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dĂ©visagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollĂ© aprĂšs son, euh, fracassage en rĂšgle Ă la manifestation -Sader ça adhĂšre!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin dĂ©boula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait trĂšs gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosĂ© en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivĂ©, enfin, le dernier avant elle, dĂ©jĂ avachi dans un canapĂ© dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux Ă©bouriffĂ©s du genre "coiffĂ© avec un pĂ©tard Weasley", mais ça lui allait plutĂŽt bien. Vous avez compris qui c'Ă©tait? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'Ă©tait affalĂ© dans un sofa et rĂ©ussissait l'exploit d'en occuper deux Ă la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon prĂ©fĂ©rĂ© de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chĂŽmage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrĂšte entrĂ©e"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit Ă l'endroit qu'il avait laissĂ© libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa Ă toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a dĂ©jĂ dit et alors? C'est vraiment s'Ă©tira. Mon dieu ce sofa, c'Ă©tait encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte Ă ce canapĂ© et la fonction bouillotte Ă©tait plus ou moins assurĂ©e par le Serdaigle qui larvait juste Ă sa droite. Lucy pencha la tĂȘte pour l'observer puis, amusĂ©e, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongĂ©, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installĂ©?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 FĂ©v - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily Ă©tait quoi ? Une trainĂ©e qui sortait avec un punk dĂ©bile aux allures dâours mal lĂ©chĂ© ? CâĂ©tait bien ça ou ⊠? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets quâils Ă©taient. Les pauvres nâavaient pas encore remarquĂ©s la prĂ©sence de la petite quatriĂšme annĂ©e qui les reluquait dâun air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyĂ© un de ses potes Ă lâinfirmerie. Domi secoua la tĂȘte, le pote en question Ă©tait un parfait chieur et sa cousine avait Ă©tĂ© dâune grande aide au peuple de Poudlard en Ă©liminant ce mec des couloirs du chĂąteau, du moins pour un certains temps. Et donc, aprĂšs avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret Ă Andras pour qu'il se prĂ©sente Ă son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapĂ©, scrutant la porte d'entrĂ©. Alleeez, vieeens, steuplaßßßt... Si Ă trois tu ramĂšne pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dĂ©pĂȘeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du cĂŽtĂ© de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut ĂȘtre qu'il est pas au courant aprĂšs tout. Tout simplement. InvitĂ©InvitĂ© Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, nĂ©anmoins trĂšs joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par lĂ . Une Lou Ă©chevelĂ©e, d'ailleurs, Ă l'air quelque peu essoufflĂ©e. - BIP, retour en arriĂšre -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. RidĂ©e, bien Ă©videmment. Enfin bref, notre chĂšre et bien aimĂ©e inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autoritĂ©, celle lĂ . La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose Ă la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dĂ©gĂ©nĂšre. La pauvre inquisitrice, qui voit son chĂąteau de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crĂ©tins. Mobilier comme Ă©lĂšves. Et lĂ , dieux apparaĂźt. Non, plutĂŽt la ministre. On emporte les Ă©lĂšves cassĂ©s Ă l'infirmerie pour une rĂ©paration en ordre, et lĂ , sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquĂ©e. Ou, pour faire plus court, sĂ»r, notre chĂšre inquisitrice n'a pas gagnĂ© Ă la donne. Il n'empĂȘche que si tĂŽt rĂ©tablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tĂȘte Ă tĂȘte avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hĂ©siterait pas Ă lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'Ă©tait pas dĂ©jĂ assez charcutĂ©e. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, Ă la mĂȘme heure il y a regroupement de l' ArmĂ©e de Dumbledore pour les incultes. L' reformĂ©e. L' nouvelle, dirigĂ©e par notre Ted Lupin bien aimĂ©. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience Ă deux clous et elle allait la torturer jusqu'Ă ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle prĂ©fĂ©rait aller se pendre plutĂŽt que de rater ça. Enfin bref, c'Ă©tait pourquoi elle avait soigneusement Ă©laborĂ© tout un plan. Celon les thĂ©ories, Ă cette heure-ci prĂ©cise, l'inquisitrice-chĂ©rie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa thĂ©iĂšre. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y Ă©tait, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'Ă©tait moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! GĂ©nie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades rĂ©sistants et frĂšres de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis aprĂšs. Mais pour quelques ennuis en plus, sincĂšrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est mĂȘme plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliquĂ©, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle Ă©tait avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut ĂȘtre un peu plus long, mais sans menaces Ă talons dans le champ de arrivĂ©e devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire dĂ©jĂ ? Ah, ouais. Penser trĂšs fort Ă ou tu dois ĂȘtre, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeurĂ©. La lionne s'exĂ©cute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvĂ©s. - DING, retour dans le prĂ©sent. -Se dĂ©cidant enfin Ă rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' Ă la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour Ă tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait Ă une prĂ©sentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te prĂ©senter, ça fait un peu coincĂ©e, lĂ ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa Ă elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusĂąt, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drĂŽles d'idĂ©es, ce ne devait pas ĂȘtre bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayĂ©, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira trĂšs bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-lĂ Ă©taient plutĂŽt du genre jaunĂątre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre Ă nager quand elle Ă©tait petit. Ils s'Ă©taient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles Ă©taient plutĂŽt du genre jaune. C'Ă©tait d'ailleurs Ă©trange, quand on y pensait...pour ĂȘtre d'une telle couleur, ils avaient des problĂšmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dĂ» ĂȘtre les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils Ă©taient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait mĂȘme du cadeau de sa maman, mais euh, c'Ă©tait quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry Ă©tait prompt Ă faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup Ă Lucy qui, pauvre Ăąme innocente, avait allĂšgrement refoulĂ© dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des prĂ©servatifs; elle avait oubliĂ© ce dĂ©tail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'Ă©tait le cadeau de la maman. Harry Ă©tait un peu...protecteur, comme pĂšre. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prĂȘter un...chose? Lucy rougit jusqu'Ă la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin Ă sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immĂ©diatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle Ă©tait quand mĂȘme ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'Ă©tait Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-ĂȘtre tester ce canapĂ©, non? C'Ă©tait sĂ»rement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau Ă Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embĂȘtĂ©e. Mais Ă©videmment qu'elle le lui prĂȘterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son pĂšre avait l'esprit ouvert...jusqu'Ă un certain point. Et que Lily se dĂ©brouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'Ă©tait ce Serdaigle que Lucy connaissait trĂšs trĂšs mal, le dĂ©nommĂ© Lysander, l'ennemi jurĂ© du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'Ă©tait pas ça, il la questionnait sur le blaireau lĂ -bas. N'y voyez nulle mĂ©chancetĂ©, c'est juste que c'Ă©tait un Poufsouffle et Lucy rĂ©pondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un Ă©lĂšve de Poufsouffle...trĂšs timide, mais gentil tout plein, plutĂŽt le genre frĂ©quentable."Petit sourire Ă Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se prĂ©senter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus ĂągĂ©e qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se prĂ©senter Ă son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'Ă©tait coincĂ©. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole Ă son tour"Lucy Weasley, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'Ă©tait elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'Ă©tait Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, dĂ©brouillez vous trĂšs chers, elle attendait juste le dĂ©but lĂ . Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui câest qui tâas fait ça, que jâaille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Melâ plutĂŽt que de se ramener vers Lily. DĂ©jĂ , sa cousine prenait une teinte inquiĂ©tante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va pĂ©ter une durite ⊠AprĂšs sâĂȘtre calmĂ©e, en deux secondes top chrono, Dominique sourit calmement Ă sa cousine, faisant mine de rien. Faire mine de rien, câĂ©tait sa spĂ©cialitĂ©. Faire genre que tout va pour le mieux malgrĂ© cet Ă©lancement Ă la mĂąchoire. Faire genre que le monde est beau alors quâil nous donne envie de vomir. VoilĂ la force de Dominique Weasley Faire nây verrait que du feu⊠ou pas.<
Sil était du genre à se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'i Le deal à ne pas rater : Cartes Pokémon Japon : le display Pokémon Go de retour en stock sur Voir le deal Harry Potter 2005 :: ~€~ Pré-au-Lard ~€~ :: Rues de Pré-au-Lard: Page 4 sur 4 [Habitation] The Sphinx's Riddle . Aller
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie dâun nouveau ... Voir le deal RPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre Ville AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Avant tout... Jeu 1 Nov - 2359 Avant de trouver le chemin du campus, c'Ă©tait le chemin du bar que S avait repĂ©rĂ©. elle perdait pas le nord la demoiselle. Justice serait enfin faite, aprĂšs quelques heures d'avion - non mais sĂ©rieusement, elle a une tĂȘte Ă faire le trajet de NY Ă Long Island en voiture ? -, elle pourrait enfin se dĂ©tendre. D'ailleurs, en parlant de ça, la premiĂšre classe ce n'Ă©tait plus du tout ce que c'Ă©tait, ou peut-ĂȘtre que les avions Ă destinations de la cĂŽtĂ© Ă©taient...disons, moins bien frĂ©quentĂ©s. En tout cas, elle Ă©tait restait assoiffĂ©e, cette foutue hĂŽtesse refusant de lui servir plus de trois coupes de champagne. Croyez-moi, on a vu pire dans les classes affaires. Ce n'Ă©tait pas un tour Ă jouer Ă S. Mais enfin, elle Ă©tait tellement pressĂ©e de se dĂ©tacher de l'Upper East Side qu'elle ne fit pas la moindre histoire. Elle avait abaissĂ© son turban personnel - ceux proposĂ©s dans les avions pouvaient trĂšs bien ĂȘtre tripotĂ©s par n'importe qui - et s'Ă©tait endormie jusqu'Ă ce que cette mĂȘme foutue hĂŽtesse ne lui annonce l'atterrissage de l'appareil. Ses cheveux bruns avaient bu ĂȘtre en pagaille, il lui suffit d'adresser un petit sourire Ă son voisin pour que celui-ci rayonne tout simplement. Elle avait quittĂ© l'aĂ©roport, on lui avait portĂ© ses bagages et puis, elle avait du se trouver une voiture parce que, les taxis, ça ne lui convenait qu'Ă NY. Bien heureusement, papa Woodsen avait bien prĂ©vu le coup. Contacts? vous avez dit contacts? Exactement oui. allez savoir comment il avait usĂ© de son argent pour qu'Ă son arrivĂ©e la jolie demoiselle ait un cabriolet noir, neuf qui l'attendait dĂ©cida de s'arrĂȘter dans le centre ville. Garant la voiture, laissant ses affaires dans le coffre. MĂȘme pas peur. De toute façon, mĂȘme si il arrivait quelque chose, elle aurait vite fait de remplacer sa collection de fringues. Voyons S, ce ne sont pas lĂ des pensĂ©es de demoiselle aux revenus moyens. Elle se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, comme si elle venait de prendre conscience de son attitude. Elle poussa les porte du bar, il Ă©tait 21 heures. Inutile d'aller au campus, c'est bien ce qu'elle se disait. Elle se dirigea directement vers le bar - bah, sinon pour quoi faire? -. Elle s'asseya sur un de ces tabourets qu'elle affectionnait tant -plus pour les avoir usĂ©s que pour l'objet en tant que tel-. elle tourna doucement sur elle-mĂȘme, ou plutĂŽt, sur le pied du tabouret. s'attirant les regards des quelques personnes prĂ©sente. Un sourire lui fendit le visage tandis qu'elle retirer ses Gucci de son Bonsoir...DĂ©clara-t-elle en posant son regard sur le barman. Elle pinça lĂ©gĂšrement les lĂšvres, pour bien rĂ©partir son rouge Ă lĂšvres, et se pencha lĂ©gĂšrement pour faire le tour des boissons entreposĂ©es derriĂšre le jeune homme. Hum..Autant espĂ©rer qu'il Ă©tait Ă jour niveau alcool ce bar. Quelques secondes entre temps, le garçon trouva la salive suffisante pour articuler un vague bonsoir Ă S. Elle sourit une nouvelle fois. DĂ©posant son sac sur le comptoir, elle hĂ©sita-Hum...une vodka tonic... Fiouh. dans un petit geste de la main. Une simple Tequila Sunrise fera l'affaire pour le moment. Voyant qu'il ne bougeait pas, son sourire s'Ă©tira, dĂ©voilant ses dents parfaitement blanches. S'il vous plaĂźt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1332 Voila que la journĂ©e commencait et aussi vite qu'il s'Ă©tait rendu au campus, aussi vite il en Ă©tait sortit. Matteo avait faite toutes ces heures, sans en louper une. La journĂ©e avait tellement paru longue, et dĂšs la derniĂšre heures, Matteo se disait que ca avait passĂ© vite. Il commencait Ă se faire au mode de vie de l'universitĂ©. Il s'Ă©tait rendu d'un pas lent et dĂ©tendu vers sa chambre et c'Ă©tait alongĂ© quelques minutes. Le calme, y rĂ©gnĂ© et il n'avait allumĂ© qu'un petite lumiĂšre. Quelques instant de rĂ©flĂ©xions surment. Mais de courtes durĂ©es car il c'Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă sortir de sa chambre ce soir. Il n'aimait pas rester cloitrĂ© dans un endroit. Matteo rĂ©flĂ©chit Ă l'endroit ou il pourrait se rendre, seul. Pas envie de contacter des amis, surtout qu'il n'en avait pas vraiment dans cette ville. Bonne raison de sortir un peu. Bon deja, Matteo allait marcher jusqu'au centre ville, aprĂšs il verrai ce qu'il ferai. Il sortit de sa chambre et sortit rapidement de l'universitĂ© avant qu'on ne le remarqua. Les rues Ă©taient inondĂ©s de personnes, la nuit Ă©tait tombĂ© et les rĂ©verbaires c'Ă©tait alumĂ©s. Voila qu'un bar se tendait devant les yeux de matteo. Pourquoi pas y faire un tour. Et il rentra donc, comme il pensait, l'endroit Ă©tait bondĂ©s. Quelques Ă©tudiants qu'il avait reconnu mais sans plus. Et beaucoup de visages sans nom. Lui qui aimait connaitre beaucoup de gens comme dans son ancienne ville, c'Ă©tait un peu ratĂ© pour le moment. Matteo se dirigea vers le contoire et s'asseya sur un tabouret. Il appela le serveur qui Ă©tait occupĂ© avec la personne Ă cĂŽtĂ© de lui. c'Ă©tait une jeune femme, dĂ©cidement elle semblait fatiquĂ©, mais il ne fit qu'attention que aprĂšs quelques minutes. Car le barman, toujours fixĂ© sur la demoiselle ne semblait pas vouloir le servir. Olala il Ă©tait tombĂ© sur un fan incontournĂ© de jolie fille. Qui ne l'Ă©tait pas en mĂȘme temps. Matteo resterai poli, au moins quelques minutes, mais pas plus. Il s'Ă©nervait facilement mais sa n'en valait pas la peine. Il attendit calememant, le regard perdu ailleurs et son coude posĂ© sur le comptoir. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1352 AprĂšs quelques secondes le jeune homme quitta des yeux S et s'affaira pour ton cocktail. Quelques secondes qui lui avaient parut interminables mais...soit sans crainte petit, pour S les secondes sont bien futiles.. La jeune femme se contenta donc d'attendre, que pouvait-elle faire de plus en mĂȘme temps? Elle fit un autre demi-tour avec son fauteuil - cette fois encore, attirant les regards suspicieux de quelques personnes -, elle croisa doucement les jambes, se fĂ©licitant d'avoir enfilĂ© un jean pour le trajet en remarquant quelques regards en biais. Quelle honte....En quelques minutes, le bar s'Ă©tait un peu rempli. Des quelques personnes Ă©parpillĂ©es dans la salle apparut une bonne dizaine d'Ă©tudiants. Ses prochains compagnon de campus vraisemblablement, elle n'allait pas s'en plaindre - voyons, ils aimaient les bars, de quoi d'autre pouvait-elle rĂȘver?-. Une chose Ă©tait sur, elle ne serait pas obligĂ©e de mettre ses habitudes de cĂŽtĂ©. C'Ă©tait une rĂ©alitĂ© pour elle, d'un cĂŽtĂ© il y avait les cours, et elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă faire son maximum, il Ă©tait grand temps qu'elle se mette au boulot maintenant, de l'autre cĂŽtĂ©, il y avait sa vie privĂ©e. Bien heureux, elle garderait contact avec D et O bien que A soit bien dĂ©cidĂ©e Ă ne plus jamais lui adresser la parole. Cette petit incartade il arracha un petit garçon la sortit de ses pensĂ©es en poussant le verre de Tequila vers elle. Elle afficha un sourire radieux en approchant le cocktail de ses lĂšvres. Bordel! qu'est-ce qu'elle aimait ça =D Elle hocha vaguement la tĂȘte, reprenant une position face au bar. Un battement de cils plus loin-Merci beaucoup...-Mais de rien Mademoiselle. »Charmant...Elle rebut une gorgĂ©e, laissant son regard vagabonder sur les gens qui Ă©tait prĂ©sent. Enfin, une personne s'Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© d'elle sans qu'elle ne s'en rend compte. Une nouvelle qui la fit sourire Ă nouveaux. Visiblement, ce jeune homme attendait le barman qui s'Ă©tait encore mit en mode off. Qui a dit que les hommes n'Ă©taient pas complexes parfois? >..< mais non plutĂŽt qu'il n'as pas toujours adhĂ©rĂ© Ă la boisson. Ătant donnĂ© son passĂ© on peut le comprendre mais pourquoi alors Re-boit-il maintenant. Et bien tout simplement parce qu'il c'Ă©tait une idĂ©e "Ne jamais ressembler Ă ces parents" Ohlala tant de pensĂ©e comme ca vers les parents, c'Ă©tait habituel chez les jeunes. Pourquoi penser aux parents, avec le temps Matteo s'Ă©tait fait Ă l'idĂ©e qu'il pourrait se dĂ©brouiller seul. ce n'est pas l'impression qu'on a quand monsieur passe d'un appartement pas trĂšs a envier Ă une maison de bourge Ă Long Island. Le petit avait donc bien changĂ© mais il se refusait Ă y croire. Encore un tourment dans sa petite tĂȘte. Par contre, les cours sa il devait si mettre. Des notes mĂ©diocre n'allait pas l'aider Ă finir ces Ă©tudes. Depuis quand on a besoin de finir l'universitĂ© quand on veut devenir rock star. Hum, il avait de l'ambition lui mais aussi indiscutablement tĂȘtu. Fibou, Matt resta Ă peine quelques minutes vers la jeune fille qu'ils dĂ©signaient tout deux et reposa son regard sur Serena. Parler d'implant, sa, sa le faisait rire aussi. mais pas de le sens de la conversation, plus pareil ne parlait pas de sa en gĂ©nĂ©ral, heureusement ! MĂ©chante ? Je dirais jute rĂ©aliste Ouh il cachait bien son jeu lui. Pas toujours gentil Ă ce que je voyais, ben c'est vrai qu'il Ă©tait franche. sa ne servait Ă rien de mentir. Au moins, il ne l'avait pas dit vraiment fort pour que la personne dite l'entende. Il regarda une derniĂšre fois, elle semblait plongĂ© dans autre chose donc aucune chance qu'elle stars Ă ce que ces deux la bien Serena se dandinait sur sa chaise comme une petite fille. Matteo Ă©couta alors plus attentivement, c'Ă©tait un bon rythme ca c'est pour toi aussi parce que une fĂ©tichiste ! J'ai une chambre double mais toujours pas de colocs...Vive le calme xDSerena semblait re-visiter ces classiques avec moral et colgate mais Matteo ni preta qu'un peu attention. Matteo ria lĂ©gĂšrement quand celle ci lui fit une confidence. Elle s'adaptait bien contrairement Ă monsieur. Ah il Ă©tait d'accord pour la suite, il s'intĂ©grait mieux dans un bar. Il souria lĂ©gĂšrement et rapporta son verre une fois plus vers lui, il Ă©tait dĂ©jĂ presque vide mais on allez pas lui reprocher de boire un peu pour commencer la soirĂ©e InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 220 Serena ne put s'empĂȘcher de remarquer que M avait tendance Ă partir dans ses pensĂ©es, laissant vagabonder sa main quelque part prĂšs de son verre sans vraiment faire attention Ă ce qu'il se passait autour de lui. Et bien sur, loin d'elle l'idĂ©e de l'y sortir. Elle ne savait que trop bien le besoin qui pouvait submerger et inciter Ă garder pour soi des pensĂ©es qui nous traversait l'esprit y laissant une marque amĂšre et, parfois, indĂ©lĂ©bile. Elle lui laissa donc le temps de reposer les pieds sur terre en s'occupant. Les jambes croisĂ©es, son pied gauche portait sur la petite barre transversale du tabouret, battant la mesure. Le claquement de la semelle de ses Gucci contre le fer provoquait un petit tintement que MattĂ©o aurait certainement trouvĂ© agaçant, mais il Ă©tait bien trop occupĂ© et le bruit occupĂ© Serena qui n'avait pas l'habitude des silence. Il fallait bien avouer qu'elle Ă©tait plutĂŽt bavarde la demoiselle. TrĂšs, trop peut-ĂȘtre mdrrrr Et puis surtout, dans son habitude de parler -pour ne rien dire- elle en oubliait parfois la sensibilitĂ© des gens et pouvait devenir trĂšs indĂ©licate. Que voulez vous? Chacun ses dĂ©fauts non? oO Elle Ă©tait trop direct et se souciait bien peu de ce que pouvait reprĂ©senter, ressentir les autres personnes qui occupaient sa planĂšte. Oui, oui, elle se sentait bien dans sa petite bulle, entourĂ©e de personnes qui comprenait l'angoisse suprĂȘme Est-ce que ces personnes m'aiment pour mon argent? -_- C'Ă©tait rĂ©confortant de ne sortir qu'avec des personnes similaires. Mais 'tention , grand tournant dans la petite vie de la demoiselle. Non, non, elle allait changer, tout simplement. Elle remua un peu plus son verre, puis le vida d'un trait en tournant cette fois son visage vers j'ai Ă faire Ă une petite blonde, c'est tout ce que je sais de la potentielle fĂ©tichiste xD Rah, je suis sur que j'aurais mieux fait de ne pas en parler. Avec la chance que j'ai, ça va me porter la poisse. Elle pointa son index vers la poitrine de son voisin en prenant un faux air apeurĂ©. Je te le dit, ça va me porter malheur cette histoire. Allez, allez, rattrapes-toi mĂ©chant garçon et dis moi qu'elle sera tout ce qu'il y a de plus adorable. Puis prenant une fausse moue suppliante. Allez, je la laisserais mĂȘme dĂ©corer la chambre de trucs hideux si c'est ce qu'elle aime. »Reprenant son expression lĂ©gitime, elle afficha un grand sourire. Ca avait quelque chose de rĂ©confortant de la voir sourire. On l'imaginait facilement gardant son sourire mĂȘme perdue en plein milieux d'un dĂ©sert. On lui avait mĂȘme affirmĂ© un jour qu'elle serait certainement la seule Ă sourire si une troisiĂšme guerre mondiale nous tombait sur le nez XD Fallait bien chercher si c'Ă©tait un compliment bien dissimulĂ© ou bien une remarque plutĂŽt..pĂ©jorative . Elle, elle s'en foutait. Jusqu'Ă prĂ©sent, un seul et unique Ă©vĂšnement avait rĂ©ussit Ă dĂ©crocher ce sourire de ses lĂšvres et ce n'Ă©tait pas demain la veille que ça recommencerait. C'Ă©tait promis. Son regard bleutĂ© quitta son verre pour aller sonder le regard du jeun MattĂ©o. Il semblait, comment dire..Ă©tonnĂ© de la voir se dandinait TT Pourtant, elle n'Ă©tait pas la seule. Non non, regardes bien, il y avait cette mamie lĂ -bas funny Allons du calme S. Elle se tourna lĂ©gĂšrement afin d'apercevoir le barman, qu'elle avait dĂ©cidĂ© d'appeler James, sans vraiment vouloir connaĂźtre son nom. Elle lui adressa un sourire malicieux, incitant Ă venir d'un signe de la main. Elle indiqua du doigt son verre vide et celui de son compagnon Ă demi plein [XD].- Ca serait peut-ĂȘtre une bonne chose de nous amener deux nouvelles vodka, histoire qu'on ne se dĂ©shydrate pas. Puis tournant la tĂȘte vers MattĂ©o. Avoues que ça serait ennuyeux. Vodka ça te va ou tu prĂ©fĂšres autre chose MattĂ©o?»Qu'est-ce qu'elle Ă©tait serviable cette petite alors. Elle attendit que le jeune homme donne sa rĂ©ponse, cela servirait d'ordre pour James et ainsi, elle n'avait plus besoin de s'en occuper. Elle posa sa main sur le comptoir, reprenant sa petite manie de marquer le rythme de ses doigts fins. tiens tiens..Les cours de piano ne se perdaient pas tant que cela finalement. Elle Ă©tait soucieuse de continuer une conversation superficielle. Elle ,n'aimait pas qu'on sache des choses sur elle et elle Ă©tait trĂšs peu habile quand il s'agissait de savoir des choses sur les autres alors comme ça, ça ne faisait qu'arranger tout le monde. Elle dĂ©boutonna sa veste, les effluves d'alcool commençant lĂ©gĂšrement Ă lui donner hum...Au fait MattĂ©o. Je croyais que les Ă©tudiants sĂ©rieux, les soirs de semaine, Ă©taient occupĂ©s Ă rĂ©viser dans leur chambre avec leur copine et leurs bouquins sur les genoux...» InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 2216 Personnellement, qualifier Matteo de quelqu'un de sĂ©rieux sa n'irait pas. Il est plutĂŽt calme quand il veut mais c'est surtout un garçon trĂšs discret. Distrait par tout et rien, toutes choses qui bouges ou toutes pensĂ©es importantes ou non. c'Ă©tait bien la le problĂšme, il Ă©tait que trĂšs peu sur terre et pourtant Matteo n'Ă©tait pas triste. Non, juste pensif, un peu trop peut-ĂȘtre et on lui avait souvent dit d'ailleurs. Se moquant de ce que les gens pensent de lui, au fond tous le monde fait bien un minimum attention à ça. Bien sur, il fait des efforts pour ĂȘtre Ă l'Ă©coute, et parle un peu trop quand il veut. ce n'est quand mĂȘme, un moment silence et un autre bombardements de phrases sans respiration. En faite, comment savoir quand il parlera ou non et si il dira une connerie ou non. Ah une connerie c'est presque sur tout le temps. Devons qu'il ne fait pas attention Ă ce qu'il dit mĂȘme aux dĂ©pend des autres. Pourtant il dĂ©teste blesser son entourage. Matteo Ă©coutait des deux oreilles, et oui, ce que Serena lui racontait sur son Ă©ventuelle colocataires. Lui, prĂ©fĂ©rait ne pas y penser au sujet du sien. Ces goĂ»ts, ces humeurs ou mĂȘme sa personnalitĂ© et bien sa resterait un mystĂšre pour le moment. Il ne rĂ©pondit pas vraiment, quoi dire, tout Ă©tait a peu prĂšs dit. Il afficha juste un sourire Ă celle qu'il avait devant lui et gigota les glaçons de son verre. Depuis petit il faisait toujours sa et sa agaçait les personnes prĂšs de lui. Bref, des souvenirs des souvenirs qui nous en apprennent plus sur ce jeune serait des nĂŽtres pour les prochaines minutes, oui. A quoi bon ĂȘtre partit dans un monde meilleure alors qu'il est en conversations avec une jeune fille. Hum, il finit son verre presque d'une traite, il devait avoir soif. Peu de temps avant, il avait apprit que la vodka ne se buvait pas comme de l'eau. le pauvre, il devait se demander pourquoi il Ă©tait tant ivre. Non, on ne va pas le faire passer pour un alcoolique, c'est juste un mec. Serena semblait appeler le barman, une autre boisson ne serait pas de refus. Un dĂ©tachement, ou la elle pensait bien elle. Toujours accompagnĂ© d'un sourire, c'Ă©tait mieux que de faire une tĂȘte de dĂ©terrĂ©. Matteo rĂ©pondit alors, Ă Serena et au barman en mĂȘme bien sa sera deux vodka !Et le "SVP" Matteo. Heureusement qu'il n'avait pas ajoutĂ© "mon brave" comme une autre fois. Il ne se foutait pas de lui mais comme dit auparavant, Matteo disait trop de choses. Quelques fois, il sortait de bons trucs, encore heureux. Ah elle est bien bonne celle la. AprĂšs que Matteo rĂ©ponde, Serena avait retorquer une phrases, quelques peu dĂ©routante de la rĂ©alitĂ©. Il suffisait de la mettre sur le bon chemin xD Hum, le jour ou Matteo sera sĂ©rieux, je doute que ce jour existe alors ne donnons pas de date. Et tu parles de qui en disant ça ?Il la regarda avec un lĂ©ger sourire, tout en faisant un minimum de faux doute que tu parlais de moi ?!Matteo prit un air faussement grand. Hum, pas le mot exact mais ce n'est rien. Enfin...Bref, Matteo attendit une rĂ©ponse. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Dim 18 Nov - 1545 Serena ne put rĂ©primer un nouveau sourire en voyant MattĂ©o rĂ©pondre au barman. Une question lui brĂ»lait les lĂšvres mais elle prĂ©fĂ©rait se retenir avant de sortir encore une de ces remarques idiotes qui permettent de couper court net Ă la conversation. Elle prĂ©fĂ©rait nettement s'amuser et ne souhaitait en aucun cas le mettre mal Ă l'aise. de toute façon, elle Ă©tait quasiment sur d'elle. Rah..C'est dans ces moments qu'elle se disait que faire Psycho n'aurait, finalement, pas Ă©tĂ© une mauvaise chose mais bon..Chacun son chemin. Et bref, pour en revenir Ă MattĂ©o, il lui faisait vraiment penser Ă la jeunesse dorĂ©e dont elle Ă©tait issue. Ceci dit, ça ne lui dĂ©plut pas le moins du monde, au moins, elle ne se sentait pas dĂ©paysĂ©e le moins du monde. Mais c'Ă©tait Ă©trange comme situation. Il avait l'air adorable et serviable aux premiers abords, serait-ce possible alors qu'il soit arrivĂ© ici odieux et prĂ©tentieux comme l'Ă©taient tout ceux de la trempe de la jeune demoiselle. Ha oui, ça l'intriguer. Elle se concentra sur la musique pour Ă©viter de poser des questions dĂ©rangeantes. L'Ă©ducation de ses parents lui aurait au moins appris une chose. Elle hocha la tĂȘte vers le barman qui semblait quelque peu..endormi ou bien Ă©tait-ce les relents d'alcool qu'il supportait mal? Elle regardait un peu autour d'elle. Les jeunes Ă©taient..sages front Aucun d'entre eux n'auraient eu la bonne idĂ©e de monter sur les table pour nous faire une petite danse du ventre. quel dommage -_-. Elle reporta son attention sur MattĂ©o avec une expression mutine, les yeux emplis de Bien sur que je parle de toi. Tu as l'air du parfait gentleman qui prend ses Ă©tudes Ă coeur et surtout, qui ne dĂ©sobĂ©i pas Ă la demoiselle qui lui a mit le grappin dessus quand elle lui interdit de boire avec d'autres jeunes femmes. Elle attrapa son verre, en quĂȘte Ă une petite irritation Ă cause du bruit que M faisait avec ses glaçons mais elle y Ă©tait bien trop habituĂ©e pour dire quoi que ce soit. Elle le porta Ă ses lĂšvres et but une nouvelle fois sans se soucier de l'Ă©tat dans lequel elle serait lorsqu'elle essayerait de rentrer cette nuit. Rah Serena, on t'a dĂ©jĂ dit que c'Ă©tait pas du p'tit lait front Prend le temps d'apprĂ©cier ta boisson; c'est ce qu'on lui disait avant. Oui avant qu'on ne comprenne que la fĂȘte et l'alcool, elle avait dĂ©jà ça dans le sang alors Ă quoi bon. Elle le reposa en souriant, prenant un petit air A moins que je ne me soit trompĂ© bien sur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Avant tout... Avant tout... Page 1 sur 1 Sujets similaires» A lire avant tout» Lorsque tout va bien et que tout s'efface [PV Sam et Dydy]» Avant Halloween [Pv Dylan]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumRPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre VilleSauter versMon second mari me battait quand il avait trop bu ou quand il Ă©tait contrariĂ© par ses ennuis de boulot. Quand ça a commencĂ©, je suis partie habiter quelques semaines chez ma sĆur mais ça me faisait 2 heures par jour de trajet pour aller travailler. Il a jurĂ© que ça ne se reproduirait jamais et je lâai cru, je suis donc revenue vivre avec lui. Pendant 6 mois, il nây a
Spartiate th Grand MaĂźtre 1 4 Avril 2011 1 ...les gens qui se servent de la rillette en creusant sous la couche de graisse; la rendant ainsi instable. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 2 4 Avril 2011 2 ...les gens qui t'annoncent qu'ils ont seulement 5,50 euros en poche une heure aprĂšs avoir prit l'autoroute, pour aller passer un week-end en Espagne... sinon pour la rillette, je fais ça que tu n'aimes pas [-xtreme-] 4 Avril 2011 4 ... l'OM, l'OL, le PSG, ni tous les autres footeux de merd* LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 5 4 Avril 2011 5 ..les bruits mouillĂ©s quand 2 niais namoureux se bouffent la langue dans les films. 6 4 Avril 2011 6 ... les gens qui se plaignent sans arrĂȘt. 7 thewonderous flan-man Grand MaĂźtre 8 9 4 Avril 2011 9 ... avoir tort sans raison, et avoir raison sans tort. 4 Avril 2011 10 .. que Xiiime, ce si beau lettrĂ©, Ă©crive "tord" au lieu de "tort" ! 11 4 Avril 2011 11 Fichtre! Au temps pour moi! Merci de me reprendre. Jusque tout Ă l'heure, je ne supportais pas les gens qui distribuent des tracts dans la rue. Mais lĂ , le tract concernait un cocktail alcoolisĂ© gratuit sur prĂ©sentation du bon sans achat obligatoire ni rien. J'ai marchandĂ© un peu, j'en ai obtenu neuf. Maintenant je les aime bien. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 12 4 Avril 2011 12 c'est vrai ça, sinon on dirait "et le tordu" et ça ne veut pas dire la mĂȘme chose que "le tortue"... 13 4 Avril 2011 13 Merci, la guĂȘpe, pour ce moyen mnĂ©motechnique que j'utiliserai dĂ©sormais. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 14 4 Avril 2011 14 sinon, dans la famille "je ne supporte pas", les vieux qui te beuglent dans la face que les places assises sont pour eux en faisant des laĂŻus sur la jeunesse dĂ©pravĂ©e. le fait d'ĂȘtre ĂągĂ© ou handicapĂ© ne te donne pas le droit d'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able! 4 Avril 2011 15 Je ne supporte pas le fait de supporter beaucoup de trucs, genre "woooaaah paf ça vient de passer". Je ne supporte pas non-plus le fait de s'exprimer de façon Ă©trange et pas du tout claire pour des des trucs qui n'ont pas de sens. Quand c'est sans dessus-dessous, c'est insupportable. Je ne supporte pas l'insupportable, que retournent les limites de l'acceptable au delĂ de ce que l'on peut supporter, quand tout se porte et se supporte dans tous les sens, quand ce sens disparaĂźt. Ă ce moment lĂ supporter devient insupportable, mais supporter l'insupportable implique d'insupporter le supportable. Hum'voilĂ . 16 4 Avril 2011 16 ... le bruit , les hamsters , les clowns, les insectes volant , les crocodiles, les gens qui "slurp" en buvant , qui piaffent en mangeant, ceux qui se rongent les ongles en crachant les morceaux par terre, ceux qui reniflent a te faire gerber, les nanas qui portent des chaussettes avec des escarpins ainsi que celle qui portent des chaussettes ou collant avec des chaussures ouvertes. ... l'intolĂ©rance, la connerie, les faux cul, les " j'ai tout vu tout fait" , la mauvaise foi, l'inconscience , la plupart des jeunes qui postent dans S/A. ... les gens qui ne savent pas ce qu'est le "second degrĂ©s" Je reviendrai plus tard pour la suite. 17 4 Avril 2011 17 ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite 18 4 Avril 2011 18 Freemaster ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite Comment ça tu ne me supportes pas?? 19 4 Avril 2011 19 pas toi mais que tu aurais une suite pour plus tard LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 20 4 Avril 2011 20 ...les noobcampers qui te headshot sur le respawn.VraiFaux Ne sais pas; 22. Il ne supporte pas la critique et nie les Ă©vidences. Vrai Faux Ne sais pas; 23. Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des dĂ©sirs des autres. Vrai
Jene suis pas brisĂ© en fin de compte, jâai le cĆur juste abĂźmĂ©, et je peux mâen remettre. Je sais que je le peux. Tandis que les mains de Paul me caressent distraitement le dos, je
depuis Recon News 03 avril 2021 Yvan, Ă©galement connu sous le nom de membre QueerYvan, est un historien de la sexualitĂ©. Dans une sĂ©rie d'articles, il Ă©voque quelques-unes de ses rencontres fĂ©tichistes favorites avec beaucoup de dĂ©tails, et il partage occasionnellement des informations sur l'histoire du Charlie, mon meilleur garçon. Je suis encore allĂ© jouer avec les hommes en cuir. Deux grands spĂ©cimens magnifiques qui portaient tellement bien leurs cuirs. L'un d'eux a une barbe rousse broussailleuse, une grosse moustache, et ses cheveux sont toujours bien mis. L'autre a des cheveux bruns trĂšs courts, et comme moi, il a beaucoup de tatouages et une poitrine velue, ses poils frisĂ©s n'ayant pas encore virĂ© au gris comme les miens. Il a Ă©galement un piercing sur sa bite, d'une Ă©paisseur de 00. Il me l'a enfoncĂ© dans la gorge tellement de fois que je ne peux pas l'imaginer dans ce piercing. Ils sont toujours vĂȘtus de cuir de la tĂȘte aux pieds; je ne pourrais pas les imaginer portant autre chose. Le roux, Berlin Rob, portait le mĂȘme t-shirt en cuir, le mĂȘme jean en cuir noir et les mĂȘmes bottes de biker que ceux qu'il porte toujours quand on se voit. Je ne l'ai jamais vu sans gants en cuir; il les a mĂȘme dĂ©jĂ eus aux mains en me fistant. Sadiq, le plus audacieux des deux, a une immense collection, et je ne l'ai jamais vu deux fois porter les mĂȘmes cuirs. Parfois, c'est une tenue complĂšte de moto, un cuir noir classique comme dans L'ĂquipĂ©e sauvage, ou une tenue de course noire et blanche, adaptĂ©e de telle sorte qu'il peut sortir son paquet quand il a envie de niquer. Quand il fait chaud, je l'ai vu ne porter qu'un jockstrap en cuir et des Doc Martens Ă 18 trous, les jours oĂč il veut que je m'occupe de son trou et de sa superbe bite. Aujourd'hui, il portait un maillot noir, des jambiĂšres en cuir assorties et ses Docs Ă nouveau la tenue formelle des pĂ©dĂ©s. Viens nous voir », m'ont-ils dit, bien que je ne sache plus lequel des deux m'a invitĂ©. On a une surprise pour toi. »Je me suis prĂ©parĂ©. JambiĂšres en cuir noir et un jockstrap facile Ă dĂ©faire afin qu'ils puissent se servir de ma bite et de mes boules Ă leur guise. Je portais Ă©galement un dĂ©bardeur de Tom of Finland sous ma veste en cuir, que j'allais laisser Ă l'entrĂ©e. En laçant mes bottes, je me demandais vraiment ce qui m'attendait. Ma surprise, c'Ă©tait que je n'allais pas faire le passif. Il y avait un boy super sexy qui viendrait jouer, qu'ils avaient trouvĂ© sur une appli, et ils voulaient que je l'essaie en premier. Il est arrivĂ© pas longtemps aprĂšs moi. Charlie Ă©tait carrĂ©ment le genre de mec que j'aime baiser. D'Ăąge mĂ»r, petit, tĂȘte rasĂ©e, pas de barbe, pas de poils sauf aux aisselles, poils pubiens noirs et frisĂ©s, et poils foncĂ©s au niveau de son cul. Des sourcils parfaits encadraient ses yeux français sombres. Ses lĂšvres Ă©taient pulpeuses et affamĂ©es. Son corps Ă©tait fort. De superbes tatouages de motifs noirs et une vue du mont Fuji sur son dos. Il portait un short en cuir noir avec une fermeture Ă©clair qui faisait tout le tour pour donner accĂšs Ă son cul. Je lui ai dit de retirer son dĂ©bardeur, et je pouvais voir un cerce noir tatouĂ© autour d'un de ses tĂ©tons, les deux Ă©tant percĂ©s avec de gros anneaux. Je me suis levĂ© pour voir de plus prĂšs. On lui avait dit de ne pas se doucher ce matin-lĂ , et de ne pas porter de dĂ©o durant toute la semaine avant notre rendez-vous. Je l'ai respirĂ©. Son odeur me montait Ă la tĂȘte et elle changeait Ă mesure que je reniflais diffĂ©rentes parties de son corps. Je me tenais derriĂšre lui et l'ai fait tourner pour qu'il se trouve face au miroir pendant que je passais mes mains sur lui, le sentant comme si son corps Ă©tait le mien. Son dos Ă©tait fort, ses bras musclĂ©s Ă mon goĂ»t. Son ventre Ă©tait lisse, doux, avec un fin filet de poils qui m'invitaient Ă me diriger vers l'intĂ©rieur de son short. Je passais mon bras autour de sa poitrine ferme et plate, l'attirant vers moi, et je regardais son visage pendant que je mettais ma main droite dans son slip. Il Ă©tait dĂ©jĂ excitĂ©, et je jouais avec lui en ignorant sa bite mais en tripotant ses boules, et je le caressais afin de sentir son plaisir enfler, en mettant la pression sur son pĂ©rinĂ©e, rĂ©veillant sa prostate. On va te niquer Ă mort », lui dis-je doucement Ă l'oreille, et je pouvais le sentir se crisper d'excitation. Tu vas ĂȘtre ma salope ce soir, notre salope. » Il fermait les yeux pour se concentrer sur son excitation, et je frottais mes doigts contre sa bite. Tu seras encore bĂ©ant quand on en aura fini avec toi » lui dis-je, et il a poussĂ© un soupir. C'est ce que tu veux ? C'est pourquoi tu es venu ? » Il secoua la tĂȘte, un air rĂȘveur sur son visage, ses yeux toujours fermĂ©s. J'ai pris son tĂ©ton entre mes doigts et mon pouce et j'ai pressĂ© fort, sans relĂącher la pression entre ses jambes. Ses tĂ©tons Ă©taient foncĂ©s, Ă©pais, bouffis, comme s'ils avaient Ă©tĂ© sucĂ©s de nombreuses fois par le passĂ©. Le mĂ©tal Ă©tait froid dans sa chair souple, et j'ai serrĂ© tellement fort avec mes doigts que la sensation l'a fait ouvrir les yeux. C'est mieux », lui dis-je. Tu devrais clairement regarder les gens dans les yeux quand ils te parlent. »- Pardon, monsieur », me dit-il. - Monsieur ? Qui t'a dit de m'appeler monsieur ? Je m'appelle Yvan » lui dis-je, retirant brusquement ma main de son short, et pinçant son autre tĂ©ton percĂ©. Regarde, dans le miroir. Ne regarde pas autre chose que ton corps » lui dis-je, en pinçant l'acier de ses tĂ©tons plus fort. Son visage se tordait, mais il allait bien. Il Ă©tait revenu au moment prĂ©sent en respirant fort, le regard fixe. - Que vas-tu faire pour nous ce soir ? » lui ai-je demandĂ©. - Tout ce que tu veux, Yvan » rĂ©pondit Charlie, doucement. J'ai tirĂ© plus fort sur ses tĂ©tons, les faisant s'Ă©loigner de son corps, le soulevant par leur biais jusqu'Ă ce qu'il se tienne sur ses orteils, essayant de supporter cette insoutenable sensation. Plus fort, mon garçon. Ils ne peuvent pas t'entendre. » - Je ferai tout ce que vous voudrez, faites de moi votre chose » dit-il avec une voix ferme, grinçant des dents alors que je tordais et tirais sur ses tĂ©tons. - Bien. » rĂ©pondis-je, puis je me suis mis Ă frapper mes mains contre sa poitrine, Ă©crasant ses tĂ©tons. Je pouvais voir qu'il avait mal. C'est dommage que je n'aie pas apporter des aiguilles. J'aurais adorĂ© te percer les tĂ©tons encore une fois, pour que tu n'arrĂȘtes pas une seconde de penser Ă tes tĂ©tons. » Il ne rĂ©pondit rien. Je pouvais voir qu'il aimait plus le look de ses piercings que la douleur qu'il avait endurĂ©e pour les avoir. Mais il allait bien. Il m'avait donnĂ© ce que je voulais. Je l'ai fait se retourner et j'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassĂ©. Il aimait embrasser avec empressement, ses lĂšvres douces entrouvertes, sa bouche accueillant ma langue. Il pressait son corps contre le mien quand nous nous sommes embrassĂ©s. Il se donnait Ă moi, frottant son paquet contre mon cuir. J'ai attrapĂ© sa tĂȘte, sa barbe de trois jours me chatouillant les doigts. Quelle salope, celui-là » dit Sadiq. OĂč l'as-tu trouvĂ©, Rob ? »- Il me courait aprĂšs sur Recon. Je lui ai dit que j'avais un copain et qu'on baisait seulement tous les deux, et il a dit que ça lui plaisait. Alors, je lui ai dit que je voulais une partouze, et il a dit que ça l'avait toujours fait fantasmer, qu'il voulait ĂȘtre la plus grande salope de la Terre », c'Ă©tait ses mots exacts. Et nous y voilĂ . »- Nous y voilĂ , effectivement. » dis-je aux hommes, puis je me suis retournĂ© vers Charlie. Ouvre la bouche » dis-je. Il obĂ©it, en sortant sa langue. J'ai crachĂ© Ă l'intĂ©rieur et l'ai regardĂ© avaler. Tu es un bon garçon » dis-je. Tu vas me faire plaisir. Nous faire plaisir. » Je lui ai crachĂ© au visage, et j'ai Ă©talĂ© la salive, le dĂ©gradant, lui faisant voir ce que c'est exactement que de vouloir ĂȘtre une salope. J'ai mis mes doigts dans sa bouche, au fond de sa gorge, et j'ai vu comment la texture changeait en caressant sa gorge. Vas-tu nous rendre heureux ? » ai-je Oui » balbutia-t-il, et je pouvais sentir combien il lui Ă©tait difficile de faire passer sa voix entre mes doigts. Ses yeux Ă©taient parlants. Il avait faim. J'ai repoussĂ© son visage. Montre-nous ce que tu peux faire », lui ai-je dit. Il se retourna et je touchais son beau corps, agrippant son cul, qui Ă©tait bien rond. Je veux te donner une fessĂ©e, » lui dis-je, et il s'est accroupi devant moi. Je l'ai prĂ©parĂ© un peu au travers de son short en cuir, ce qui attĂ©nuait mes coups secs en un bruit sourd. Ăa ne suffit pas », lui dis-je, en ouvrant son short, l'enlevant brusquement et le jetant par terre pour rĂ©vĂ©ler son cul appĂ©tissant. Il ne portait rien d'autre que ses bottes. Je l'ai fait se tenir debout avec ses mains accrochĂ©es Ă un anneau suspendu au plafond, et je lui ai dit de compter jusqu'Ă dix pendant que je frappais fort sa fesse gauche. Il s'est tortillĂ©, mais il ne m'a pas dit d'arrĂȘter et son cul est devenu rouge Ă l'endroit oĂč je l'ai frappĂ©. Penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? » ai-je demandĂ©. Tu n'as pas arrĂȘtĂ© de bouger. » Il Ă©tait déçu, mais ne disait rien. Je l'ai regardĂ© dans les yeux. Je t'ai posĂ© une question, penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? »- Non, pardon Yvan. »- Est-ce que tu peux faire mieux ? »- Oui, je le peux. »- Bien. Je vais te tenir. Sadiq, viens ici. » Il s'approcha, se frottant les mains en soulevĂ© le garçon en enveloppant ses jambes autour de moi. Frappe-le », dis-je Ă Sadiq, et chaque coup sur son cul Ă©tait plus fort que le prĂ©cĂ©dent. Quand je l'ai redescendu, on a plaisantĂ© en disant que Sadiq frappait plus fort que moi. Vingt coups, et son cul Ă©tait sacrĂ©ment rouge. Rob regardait le spectacle, buvant de l'eau et fumant une cigarette. J'ai mis le garçon sur ses genoux, penchĂ© sur le fauteuil en cuir. Je pouvais sentir ma bite enfler, contractĂ© dans mon jockstrap, et j'ai dĂ©cidĂ© de l'enlever. J'aimais le faire attendre, et faire en sorte que les deux hommes puissent le voir exposĂ© comme ça. Ăcarte tes fesses » dis-je, pour nous amuser encore plus. Il Ă©tait trĂšs sexy. Son cul Ă©tait rond et il nous excitait, avec des poils noirs bouclĂ©s autour de son trou du cul rose. Ses couilles se balançaient, et j'ai placĂ© la semelle de ma botte contre elles, les pressant Ă plat contre le fauteuil. Ses gĂ©missements me faisaient savoir Ă quel point il aimait ça, et j'ai augmentĂ© ma force, les Ă©crasant encore plus. Tu as un beau cul, » dis-je, et je me suis approchĂ© pour le mis mon visage dans son cul et j'ai lĂ©chĂ© toute la sĂ©crĂ©tion de ce jour-lĂ , sueur salĂ©e avec toute la saveur du garçon. Je l'ai attrapĂ©, Ă©cartĂ© ses fesses, mangĂ© ses couilles et son pĂ©rinĂ©e, et l'ai baisĂ© avec ma langue, dans une vraie frĂ©nĂ©sie. Je me suis Ă©loignĂ© un peu et l'ai regardĂ©, lui disant Ă quel point il Ă©tait bon petit cochon et que je voulais le pĂ©nĂ©trer. Il gĂ©mit, hocha la tĂȘte et dit Tout ce que tu veux », et j'ai pris cela comme son recouvert mes doigts de lubrifiant silicone et me suis facilement glissĂ© en lui. Un doigt, deux doigts. J'ai localisĂ© sa prostate et me suis concentrĂ© dessus avec des mouvements dĂ©licats, en suivant son souffle alors que je sentais l'Ă©nergie sexuelle dans son corps augmenter. J'ai accĂ©lĂ©rĂ© le rythme, en pĂ©nĂ©trant son cul plus profondĂ©ment, sentant son trou du cul se dilater autour de mes doigts. J'adore la sensation d'un cul qui se dilate pour moi, et j'ai commencĂ© Ă entrer et sortir mes doigts, de plus en plus vite et plus profondĂ©ment, mon autre main lui serrant les couilles fermement. S'il te plaĂźt, mets un autre doigt en moi », J'adore les salopes qui en demandent plus », dis-je. Je lui ai mis trois doigts d'abord, puis quatre doigts, faisant glisser ma main vers l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur jusqu'Ă ce que je le dilate autour de la partie la plus large de la main, et mon pouce Ă©tait la seule chose qui m'empĂȘchait d'entrer tout mon poing. Il n'arrĂȘtait pas de gĂ©mir, il ne retenait rien du tout. J'adore quand un mec se donne Ă fond comme ça. Les hommes regardaient tous les deux, attentivement, et se branlaient alors que je jouais avec le garçon qu'ils avaient choisi pour les amuser. J'entrais et sortais, plus vite et plus fort, ressentant les vagues de plaisir qui envahissaient Charlie, le baisant comme j'adore me faire baiser. Jouiras-tu encore pour moi ? » lui demandais-je, alors qu'il Ă©tait Ă©vident qu'il allait encore jouir. Je pouvais presque voir le liquide prĂ©-sĂ©minal dĂ©gouliner sur le cuir du Puis-je, s'il vous plait ? » dit-il en Bien sĂ»r, jouis. » dis-je en le pĂ©nĂ©trant encore plus fort, sentant son trou se refermer autour de ma main, puis son corps essayant de me repousser alors qu'il serrait sa chair avec une force brutale. Je n'ai pas arrĂȘtĂ©. Alors que son corps se contractait, j'ai continuĂ© Ă pousser de plus en plus fort, Ă©tonnĂ© de voir comment il s'Ă©tait rendu. Il jouit encore et encore, coulant des riviĂšres de sperme de sa queue flasque jusqu'au sol. C'Ă©tait un orgasme si intense qu'il se tordait involontairement et donnait l'impression qu'il allait C'est bien mon garçon, tu as tout donnĂ©, » lui dis-je en retirant mes doigts de son cul bĂ©ant. Mange, cochon, » lui dis-je, le forçant Ă rapprocher son visage de son propre sperme sur le parquet. Il Ă©tait impatient et avait soif, un passif dĂ©sespĂ©rĂ© essayant de plaire aux autres en se concentrant sur cette tĂąche dĂ©licate. J'Ă©tais content et je le lui ai dit, et Ă ce moment-lĂ , son visage s'est illuminĂ© d'un sourire et d'une profonde tellement excitĂ© que j'ai dĂ» le baiser. Ma queue la pĂ©nĂ©trait facilement, son cul palpitait toujours Ă cause de mes doigts experts, et il gĂ©missait sur le sol, son visage pressĂ© contre la mare de son propre sperme. J'Ă©tais debout, le poussant profondĂ©ment, entendant ses grognements alors que je le pĂ©nĂ©trais. Son cul Ă©tait doux et chaud autour de ma bite. Il gĂ©missait dĂ©licieusement chaque fois que je le pĂ©nĂ©trais assez fort pour atteindre son deuxiĂšme sphincter. Je sortais pour regarder son cul bĂ©ant Ă chaque fois que je pensais que j'allais jouir, puis je pĂ©nĂ©trais son cul brusquement Ă nouveau, retenant mon orgasme aussi longtemps que je le pouvais, travaillant sur mon propre plaisir. Je l'ai remis sur le fauteuil, Ă©tirĂ© son corps pour mettre tout mon poids contre lui, le baisant contre les meubles, le niquant jusqu'Ă ce qu'il se mette Ă gĂ©mir et Ă crier, alors qu'il touchait ses parties gĂ©nitales et se masturbait. Je l'ai baisĂ© fort, avec un de mes genoux clouĂ© sur sa poitrine pour le pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible, jusqu'Ă ce que je sente mon orgasme arriver, n'Ă©coutant pas ses gĂ©missements de plaisir mais en me concentrant sur le mien, en utilisant son trou du cul jusqu'Ă ce que ma respiration s'accĂ©lĂšre, que je jouisse et que je m'Ă©croule sur lui dans la sueur, sentant mon Ă©rection descendre Ă l'intĂ©rieur de son cul qui palpitait l'ai dĂ©placĂ© plus loin sur le fauteuil, son cul dĂ©passant. Sors-la pour moi » dis-je, et j'ai Ă©cartĂ© ses fesses jusqu'Ă ce que je puisse voir mon sperme blanc contre la couleur rouge de son cul dilatĂ©. Je l'ai nettoyĂ© avec ma langue, puis je lui ai dit de se mettre Ă genoux sur le sol devant le miroir. Il est temps que tu les serves, maintenant. » dis-je en dĂ©signant mes amis. Je me suis adossĂ© contre le fauteuil en cuir noir, regardant les deux autres s'amuser avec lui. Sa bouche affamĂ©e couvrait toute la longueur de la queue de Rob, Ă©tirant ses lĂšvres sur toute la largeur de son pĂ©nis de sorte que la salive coulait le long de son menton. Sadiq avait sa longue bite Ă la main et se tenait derriĂšre le garçon, brossant le cul ouvert de Charlie avec le piercing de sa bite, se servant de mon sperme et de ma salive comme lubrifiant. Je pouvais voir le mĂ©tal de son gros piercing disparaĂźtre dans son trou du cul. C'Ă©tait trĂšs excitant, je me suis remis Ă bander en me touchant et en regardant Charlie se faire Ă©clater, Sadiq l'attrapant par les Ă©paules pendant que Rob lui niquait la bouche avec sa grosse bite. Quand Sadiq s'est retirĂ©, j'ai vu le sperme couler du cul que j'avais posĂ© mon pied sur un tabouret et j'ai dit Ă Charlie de s'asseoir sur mes bottes, ses boules collĂ©es contre les lacets rouges. Il a frottĂ© son paquet jusqu'Ă ce qu'il devienne rouge. Rob Ă©tait derriĂšre lui, baisant son trou du cul sur lequel nous avions dĂ©jĂ bien travaillĂ©, le baisant pendant que je me branlais. Le plaisir de Charlie Ă©tait prĂ©sent sur son visage, brillant de salive, la bouche ouverte par l'extase. Il a joui sur ma botte pendant que Rob jouissait en lui; quand il s'est levĂ©, je lui ai dit de nettoyer, et il a obĂ©i servilement. Je l'ai laissĂ© finir et lui ai dit de sucer ma bite jusqu'Ă ce que je jouisse, et j'ai embrassĂ© ses lĂšvres qui sentaient mon sperme. La prochaine fois », dis-je, en supposant qu'ils l'inviteraient Ă nouveau, je veux le fouetter avec un bĂąton pendant que vous regarderez. Un cul aussi parfait que ça devrait prendre plus que quelques bites. » Ce sont des mecs comme lui qui me donnent envie de ne pas ĂȘtre qu'un passif pour les adeptes du cuir. Partager- ĐŃ Î·ĐžĐČŃÏ
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